grand 1 : faire du sport ( au moins 3 abdos/semaine )
grand 2 : manger sainement ( 1/2 tablette de chocolat/jour c'est fatal mdr!)
grand 3 : trouver ma volonté
grand 4 : mettre de l'ordre dans ma vie ( ne plus embrasser n'importe qui... ^^ )
tout un programme bilan en décembre 2008!
PS : Bonne année!
Le trottoir chante
Mademoiselle pleure, elle pleure la vie comme on pleure la mort. Ses yeux souffrent du noir que leur reflettent son miroir, sans doute a - t - elle trop pensé, « mais pensé à quoi ? » La vie semble pourtant trop courte pour en pleurer alors un pied devant l'autre elle se jette sur le trottoir et avance, avance, un pas, puis deux. Le bruit de ses écouteurs la grisent, le sourire apparaît alors et le béton du trottoir disparaît... Des fleurs, des milliers de fleurs, la mousse verte lui chatouille les pieds. Un sourire traverse rapidement son visage, son ami, ses amis, sa vie se reflète sur ses lèvres « tu as tout ce que tu souhaites » « oui peut être » . Le guitariste plaque un accord sur sa guitare, juste les trois notes que mademoiselle aime entendre, alors l'image la plus belle étincelle, elle se mordille la langue se remémorant de doux moments, tantôt avec lui ou avec ses amis. Mademoiselle marche maintenant d'un pas certain, assurée par ses souvenirs « and the man who sold the world ....». Elle traverse le boulevard sans avoir peur, se freille un chemin entre les têtes du lundi matin, têtes bosseuses et têtes blondes. Et puis les dernières notes sonnent leur glas. Le trottoir redevient bétons, le ciel redevient pluie et les têtes aux multiples versions redeviennent un même veston et un même cartable. Et pourtant quelquechose a changé « la pluie est plus chaude aujourd'hui ?» , Elle a changé, du moins pour la journée, la musique a changé le cours de la journée ...
Perte de substance
Un peu trop grande et un peu trop perdue dans ce couloir vert, elle s'evertue à se concentrer sur le monde, à rire et sourire, à pleurer et manger. Et puis elle flanche, mademoiselle flanche, elle se penche, regarde dans son miroir, elle se scrute, son nez trop rond, ses pomettes de petite fille, ses lèvres que le froid abîme « met du labello!! » « pourquoi pas » et à cet instant, hors du temps elle défie son regard. Ces 2 pupilles bleues vertes ou grises comme nuancées par ses humeurs, aujourd'hui leur reflet gris très fort la rejette et « tu n'es pas belle ». Alors elle s'envole, le pays des pingouins vert l'attend, la traîne vers elle, elle se jette une piqure – d'adrénaline - , s'envoit en l'air – parterre -, se bourre - de désillusion -. La fièvre monte, ses yeux se brouillent son iris ne voit plus clair elle s'évapore dans un doux rêve de débauche : « il m'a embrassé », de connerie : « je vais te faire du mal », et de douce rêverie : « tu es une fille super ». La peur et la douleur se désagrègent doucement : elle s'endort. Mademoiselle dors maintenant, elle s'endort des bruits autour, elle s'endort de ses soucis. Elle s'est assise sur un banc et regarde les chaussures passées. Des mocassins qui font mal aux pieds et éparpillent le coeur, des escarpins qui lui creusent le sillon des doux souvenirs d'été, des rangers goût sweet dreams, les kikers d'une grande dame. C'est sa vie dans ces chaussures « pourquoi des chaussures ? » Elle se lève de son banc, de son parc rassurant et part un peu trop vite un peu trop loin dans une vie mUltiColOre couleur histoire du temps et lettre perdues. Des passions, des amis, des bisoux, et des soucis. Mademoiselle s'envole, elle se sent perdre pied à la vie. Tente de se raccrocher à son corps presque inanimé, son esprit s'enfuit de cette enveloppe qui l'enferme, le restreigne divagant entre baiser volé et vapeur alcolisé. Son coeur est parti il est resté sur le banc. « vrrrrrr, vrrrrr, vrrrr » cette petite boite vibrante va tomber du bureau .... mon coeur doit repartir avec moi... Alors ses yeux la lâche, elle se toise encore une fois, et puis « oui tout va très bien, et toi ? »
Ho mon miroir, beau miroir dis lui que demain tout ira que ses yeux seront bleu heureux...
Elle est un peu trop grande, un peu trop mince, un peu trop maladroite et se tient mal.
Elle a déménagé un peu trop loin, elle est partie un peu trop vite, elle ne voulait pas fuir cette fois-ci
Elle s'est détachée un peu trop vite, elle les a laissé un peu trop
Un soir elle est revenue en arrière,
Un soir elle a revu ces 3 ans en face
Un soir elle a enfin compris où se trouvait sa place
Une nuit elle fut déçue
Une nuit elle a joué sur son ptit' malheur
Une nuit elle a pleuré
Un jour elle trouvera la force d'accrocher son coeur à une branche d'arbre en plein milieu de ce château, sans ressentir un couteau s'enfoncer dans son dos.
Un jour Une petite lumière innoncente et indolore s'allumera quand elle sortira de cette gare, la peur n'aura plus sa place et le regret non plus.
I'm falling and I'm losing myself,
I don't know what I have to do, like all teenagers...
de Atarioni, deviantart.com
Le regard qui pétille, éblouissant de rage de vivre,
L'impression que tout le monde saura : saura ses amis, saura sa passion, saura sa vie.
Entraîner par la jouissance de pouvoir dépasser tous les obstacles, toutes les menaces. La vie lui semble comme un grand siyrure s'évanouissant au delà de l'horizon pour laisser place à ses ambitions.
Et ainsi, sur une mélodie franche, le pas certain, il semble tenir le monde dans la paume de sa main. Il semble courir dans la vie en sachant où tourner comme si sa fierté pouvait le guider.
L'impression que tout le monde sait : sait ses amis, sait sa passion, sait sa vie.
Sensation plus qu'éphémere sans vie amère, plein de rève irréalisé mais pourtant il lui semble plus que raisonnable de ressentir ce sentiment peu banal pour une vie bien général et des fierté peu avouable.
Mais il a bien vite compris que le mon reprendra trop vite ses marques, qu'une fois encore il devra faire face à la banalité de la vie, meme si au fond rien ne presse, il s'était vu comme le maîter de sa magnifique vie pendant un instant.
Il avait l'impression que tout le monde savait, savait ses amis, savait sa passion, savait ses amis
Je te manques, tu me manques, nous nous manquerons, pourquoi redoutez ce sentiment? Pourquoi avoir peur d'avoir mal? Pourquoi avoir mal de se manquer?
Se manquer c'est aussi s'aimer, alors vous me manquez tous très fort que vous n'etes pas la.
Et j'en suis très heureuse.
"Un jour il te dira qu'il t'aime
Alors un jour vous vous donnerez l'amour"
anonyme 1940
A tous bon courage! Pour que tout devienne comme une belle vie qui l'est dejà enfait! ^^ je pense fort a vous et je vous donne tout mon courage tout mon sourire pour le bac! J'espère qu'on le reussira tous pour passe les journées ensoleillés les plus belles de notre petite adolescence ( banale mais très sympa) pour qu'on puisse se dorer la pillule sans avoir peur de demain, le sourire au lèvres et les abdos souffrant de nos rires ( ma ptite futur coloc' ça va etre du sport lol)
BON COURAGE A NOUS
